Mars 2023
La création d’un Master en médecine à l’UMons est indispensable !
Pour le CPEONS, le développement d’une offre de formation locale est essentiel et se doit de répondre aux besoins et aux aspirations légitimes des provinces en matière d'éducation et de santé.
Octobre 2022
Réformer l’enseignement en alternance sans l’appauvrir
Alors que les Gouvernements de la Région Wallonne et de la Fédération Wallonie-Bruxelles s'apprêtent à vouloir réformer la formation en alternance, le CPEONS plaide en faveur d’un enseignement qui amène tous les élèves, sans exception, à s'approprier des savoirs et les prépare à devenir des citoyen·ne·s responsables.
Mai 2022
La réforme du qualifiant ne va pas dans le bon sens !
En ces temps de réformes institutionnelles profondes, il nous semble indispensable de revenir sur un dossier particulièrement important et sensible pour les Pouvoirs organisateurs du réseau officiel subventionné. Nous parlons ici des réformes envisagées pour l’enseignement qualifiant dont nous devons constater qu’elles répondent principalement à des considérations budgétaires et arithmétiques, s’écartant par là-même de leur indispensable mission de service public.
Mars 2022
Face au nombre important d'Ukrainiens demandant l'asile sur notre territoire, le CPEONS propose un projet de formation qui permettra à ces réfugiés chassés par la guerre d’acquérir très vite les bases de la langue française.
En organisant ces cours de FLE de manière intensive dans différentes régions francophones du pays, nous cherchons à offrir aux demandeurs d'asile, chassés de chez eux par le conflit, une possibilité rapide d'intégration et d’autonomie.
Novembre 2021
Le CPEONS se réjouit de l’accord politique appelant à rendre obligatoires deux heures hebdomadaires de cours de philosophie et de citoyenneté (CPC) dans l’enseignement officiel mais regrette un manque d’ambition concernant le libre confessionnel
C’est un grand pas en avant pour ce projet visant à réunir les élèves par-delà leurs convictions et celles de leurs parents. Tous les élèves ? Malheureusement, non. Si nous sommes ravis de lire que les bancs de l'école publique seront davantage utilisés pour apprendre à se distancier de ses convictions, pas nécessairement pour les abandonner mais pour mieux les peser, nous ne pouvons que constater une nouvelle occasion manquée de déconfessionnaliser notre enseignement...